»Mon travail repose justement sur cette contradiction. Je tourne autour de mes cônes, je les évide, je les scie, les sangle et les bride, pour leur donner des silhouettes de citadelles, de donjons, de tambours sans fonds, de canons sciés, coupés, fendus, crantés. En prenant désormais le parti de tout montrer en recherchant la transparence et même la fragilisation, je creuse les troncs d’arbres à partir de leurs bases, et je vais vers l’ultime. Aller voir ce qu il y a derrière la glace « ( (T.L.M)
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